Maintenant, pour le choix, il y a peut-être à faire une différence entre les TPP et les matchs IMP…
Bon, deux éléments à votre intentions :
1- une bonne lecture pour savoir quoi faire si on sort du Sef : « défauts et remèdes de la majeure cinquième » de JR Vernes (auteur très remarquable que les « vieux » bridgeurs ont bien connu…😁 ), et on y verra, par exemple, que le SA faible ne se justifie pleinement que SANS 4 cartes à ♠️ !
2- si on regarde les feuilles de conventions des 12 paires demi-finalistes de la Bermuda Bowl, une seule paire joue vraiment l’ouverture 1SA faible ! Souvent le ♣️ fort se substitue à nos ouvertures fortes, et l’ouverture 1SA est alors plutôt 14-16.
Donc, le SA faible ne remporte pas les suffrages des champions, mais reste un «avantage» dans nos tournois locaux ou dans nos compétitions nationales… il faut juste savoir comment lutter contre…: un petit topo, Marc ? 😁
3♠️ : pas forcément 5 cartes, car peut-être je tiens les ♣️ et pas les ❤️.
Je ne vois pas comment on peut différencier selon le nombre de ♠️.
Ne pas oublier quand même que les Michael’s cue-bids sont indiqués dans le Sef (faut lire la page jusqu’en bas) ; je ne connais personne qui joue l’intervention 2❤️ sur ouverture 1❤️ comme naturelle…😄 . Donc la formulation du Sef aurait dû être : hors cue-bid, SAUF à ♣️, et non pas y compris…
Sur BBO ou Réalbridge on peut questionner l’adversaire avant d’enchérir, en cas d’incertitude sur le sens de l’enchère.
Contre…?
Merci Marc
Voici donc la suite (effectivement j’ai dit 2♣️…)
1♦️ 1♠️. 2♣️. 2♠️
Pa. Pa. ??
Comme c’est autoforcing, que dois-je dire ?
Mais pas 4 cartes à ❤️…
Je pense que les atouts 2-2 + la dame sèche si 3-1, ça doit faire plus que 50%, donc faut y aller…
Oui, c’est un peu ce que je pensais : l’As sec est-il vraiment un singleton ?
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