j’ai cru comprendre que l’enchère de 2P est elle même forcing un tour et l’ouvreur doit dire “au moins” 3C ou 2SA.
C’est bien ça ?
Merci
Merci Marc, oui c’est bien ça. Mais alors après le début 1C 1P 2C 2P forcing UN TOUR
et l’ouvreur mini : 3C ou 2SA, comment continuer avec une bombe à P (l’équivalent du 1C 2P fort) ?
idem si l’ouvreur annonce son jeu fort à C ?
Après les réponses 3T ou 4T, à partir de quand l’ouvreur peut imaginer que le répondant envisage le chelem et surtout ne pas “fermer” à 5T ?
Suite :
Est ce que le partenaire a le droit de passer sur 4T direct ?
Dans les 2 cas, l’ouvreur ne connait l’espoir de chelem que lorsque le répondant dira 4T. Donc quel est le bénéfice du passage par la 4ème puisqu’on est à peu près sûr de vouloir proposer le chelem ?
Pour l’anecdote, on est le dans le cas “1 fois sur 10” le partenaire possédait RDVx à P ! Bien sûr ceux qui entament P se gaussent d’avoir fait le bon choix ! Toujours la politique du résultat !
En effet je me trompe probablement sur cet exemple, bien que ce soit aussi une tête de séquence ! et il reste encore le cas D 10 9 entame du 10.
Merci Marc. Mais cette enchère de 3C peut se faire à partir de quelle force ?
Merci Marc,
Mais dans un article du bridgeur de septembre 2017, JC Quantin cite le SEF et dit 10H max et 5 1/2 à 8 levées de jeu pour ouvrir au palier de 3
Es ce bien raisonnable de donner une quelconque valeur à ces deux valets majeurs pour dépasser la limite des 10H ?
En tout cas, le raisonnement est-il envisageable (même avec une conclusion erronée) ou alors complètement stupide comme me le dit ma partenaire ?
Merci Marc
mon exemple n’est peut-être pas pertinent, disons que je remplace l’As de P par la Dame !
je perds environ 2.3 “h”
Si vous avez déjà créé vos identifiants cliquez ici :
Cliquez ici si c'est votre première connection :