1) Pas d’autre choix que 1♦. Jusqu’à preuve du contraire, il y a 19 H. Point barre.
2) Un peu trop beau pour un Splinter à 4♣. Le SEF joue les super-forcing de telle façon qu’on ne peut nommer qu’une seule courte sur les départs 1♦ 1♠ et 1♣ 1♥.
1♣ 1♥
3♦ : court à ♠
et
1♦ 1♠
3♥ court à ♣.
Je propose une autre méthode, avec singleton indéterminé :
1♣ 1♥
3♦ : plus fort qu’un Splinter, singleton inconnu. Relais éventuel à 3♥ :
3♠ : court à ♠
3SA : court à ♦
et
1♦ 1♠
3♥ : plus fort qu’un Splinter, singleton inconnu. Relais éventuel à 3♠ :
3SA : court à ♥
4♣ : court à ♣
Sur la séquence 1♣ 1♠, on a 2 superforcing (3♦ et 3♥ : on peut préciser le singleton tout de suite – et pourquoi diable le faire à l’envers ? )
Sur la séquence 1♦ 1♥, il n’existe pas de super forcing. On est alors obligé d’inventer un faux bicolore dans le résidu avant de soutenir.
Ici, on obtient :
1♦ 1♠
3♥ 3♠
4♣ 4♠
6♠
3♠ : relais, donc pas nul (on dirait 4♠).
4♣ : court à ♣.
4♠ : mal tombé.
6♠ : plus de grand chelem raisonnable, mais on va quand même jouer le petit.
A remarquer que 7♠ est un fort mauvais contrat.